Edifié en hommage aux victimes de la révolution pour l’avènement de la démocratie pluraliste, l’ouvrage présente au premier plan, une femme en pleur, à genoux, face au corps de son enfant. Au second se présente une œuvre du peintre Ismaël Diabaté, montrant des manifestants que surplombe une victime hurlant de douleur, manifestement après avoir reçu une balle dans la tête. Les deux composantes du monument traduisent la douloureuse marche vers la démocratie et célèbre la victoire pour ce jour nouveau, le 26 mars 1991.
Année de Création : 1995